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La Genèse hébraïque selon l'auteur présumé, Moïse, met en scène au chapitre IV, l'ordre et le désordre, le bien et le mal à travers Habel et kaîn, êtres cosmogoniques émanations d'Adam et Êve. Habel suivant plusieurs traductions conduit, dirige le troupeau et Kaîn se donne du mal, il est laboureur.
L'ordre et le désordre ne seraient pas être l'un sans l'autre. Au chapître I, Ælohîm dit, considère, assigne, fait. En arrière plan, dans l'obscurité, le chaos rêgne en maître. Le concept est ancien. Selon les Textes Pyramides: Pharaon a mis la rectitudes (Maât) à la place de l'iniquité (isefet). "Lorsque Pharaon, doté d'une vie en éternité, a reçu la charge de gouverner le monde, il a trouvé isefet". Pour Moïse, IE°OE est celui--qui-est, qui-a-été et qui-sera.
Le maintien de l'ordre cosmique a pour corrolaire la stabilité, la continuité et la complétude du, des cycles. Le désordre peut apparaître à la fin d'un règne, d'un cycle. La continuité générationnelle et la complétude d'un cycle régulier est mise à l'épreuve. Le Sepher Beræshith ou Genèse a introduit le concept du Principe pour garantir la continuité du cycle.
Principe est tout d'abord l'origine première de toute chose, mais aussi noyau transmissible d'un cycle à un autre, d'une génération à une autre par multiplication divisionnelle et régénération.
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Comme origine première de toute chose-être, le Principe_Beræshith contient à l'état latent la force-la puissance et les mouvements caractérisant sa vitalité divisionnelle. Principe est conçu comme étant un état d'équilibre et de déséquilibre, d'ordre et de désordre entre ses parties, desquelles émergera à la faveur d'un son, un mouvement extensif nommé Ælohîm propre à la création tangible, à la stabilité, à l'équilibre. Principe_Beræshith figure l'Unité origine des unités relatives par multiplication divisionnelle.
En étant que noyau transmissible d'une génération à une autre, il contient toujours à l'état latent la force et le mouvements, mais sa vitalité divisionnelle s'en trouve affaiblie par l'usure du temps et doit êre régénérée, dissoute, rendue "pure".
Le mythe à sa grammaire, le vocabulaire radical ou séries des racines hébraïques, selon Fabre-d'Olivet, décrypte les termes en faisant résurgir à côté des sens propre et figuré, leurs sens idéographies. Le mythe semble récouvrir un concept pré-scientique dont les nombres et les valeurs numériques attribuées aux signes d'écriture sont les porteurs.
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L'universalité d'Adam première conception* en tant qu'être cosmogonique et cosmologique réside sur la particularité suivante: Adam est "homme et femme" en un seul être. Ælohîm forma ce qui constitue Adam et plus précisemment il raréfia, il aggloméra, il lia ; il fit une configuration élémentaire constituée avec Aleph ou A de puissance et de l'autre côté du signe de la division Dalet ou D, (A)M final: la matrice, la mère, ce qui va servir ce cause.
* Chap.II,v.5: " ... et-Adam (l'homme universel) non-être (non exister en acte) ...
D'après certaines traditions le Kaaba, aurait été construite par Adam ou laissée en derrière lui dans la plaine de Médine. "Kaaba, Ka'aba ou Ka'ba sont des transcriptions approximatives de l'arabe الكَعْب ةen transcription traditionnelle: ‘al ka’abaʰ) qui signifie cube. Les anciens chroniqueurs rapportent qu'avant l'avènement de l'islam (jahilya), il y avait 24 ka'bas dans la péninsule arabique, mais celle de la Mecque était vénérée par toutes les tribus. On dit que la Kaaba contenait plus de 360 idoles; chaque tribu y trouvant les statues (asnam) de ses dieux."
Dans la modélisation des trois premiers versets de la Genèse, l'idée de cube apparaît ainsi que celle d'une première unité et d'une seconde unité "double" de la premère.
I. PREMIEREMENT-EN-PRINCIPE, il-créa, Ælohîm (il détermina en existence potenlielle, Lui -les-Dieux, l'Être-des-êtres), l’ipséité-des-cieux et-l’ipséité-de-la-terre.
2. Et-la-terre existait puissance-contingente-d’être dans-une-puissance-d’être: et l’obscurité (force compressive et durcissante) -était sur-la-face de-l’abìme (puissance universelle et contingente d'être ); et-le-souffle de-lui-les-Dieux (force expansive et dilatante) était-générativement-mouvant sur-la-face des-eaux (passivité universelle).
3. Et-il-dit ( déclarant sa volonté) , Lui-l’Ètre-des-êtres : sera- faite-lumière; et-(sera)-fut-faite-lumière (élémentisation intelligible).
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"l'obscurité" ou force compressive et durcissante |
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La Kaaba, le "cube" et Al-hatïm, la partie effondrée |
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Adam première conception, homme et femme simultanément doit alors être assimilé au concept d'unité tel que le vocabulaire l'envisage, or l'unité telle qu'elle est conçue par l'écrivain supposé, est double, au masculin et au féminun, faisant de Alohîm, aleim final, formé d'un Aleph ou A, et du signe de la manifestation Yod, I ou J, une entité cosmologique double. (I. 26. Et-il-dit, Lui-les-Dieux (déclarant sa volonté), nous-ferons Adam en-ombre-nôtre, conformément-à-l’action-assimilante-à-nous).
, un. Aleph-Het-Dalet, AHD
Le terme AHD est guidé, déterminé par la lettre D ou Dalet , exprimant l'idée d'abondance née de la division.
Le terme AHD est construit sur la racine A (H) D indique tout objet extrait de la multitude, tout ce qui émane d'une chose, la puissance de la division, une émanation modifiés par la lettre H représentant l'idée d'un travail, une action normale et législative, d'effort. AD, dont ce mot est formé, " se prend quelquefois pour l’unité même*, surtout en chaldaïque, signifie proprement, une pointe, un sommet, la partie la plus aiguë d'une chose; le haut d une pyramide. C’est la division arrêtée, subjuguée par une sorte d’effort; comme l’indiquent les deux signes D et H qui la composent". Enfin, pour conclure, AH indique les idées d'équilibre, d'égalité, de fraternité.
*HD: l'unité relative". (Fabre-d'Olivet)
On trouve ADTh, une, au féminin.
Au féminin, le terme ADTh est guidé, déterminé par la lettre Tet ou T et qui comme signe grammatical est celui de la résistance et de la protection. Cette lettre associée au premier signe du terme, forme la racine TA évoquant l'idée de résistance, de repoussement, de réjection; ce qui cause la réfraction lumineuse. Ce terme est construit sur la racine A (D) Th, recouvrant l'idée d'objet, de signe, de marque, etc.. modifiée par la la lettre D, signe de l'abondance née de la division
La suite du terme, par AD, indique tout objet distinct, seul, extrait de la multitude. Enfin avec DTh, il est évoqué l'idée de toute chose émise pour suffire, pour satisfaire, pour servir de cause suffisante
La kaaba présente des particularités intéressantes, tout d'abord la pierre noire, la ligne de départ et d'arrivée de la circonvolution et l'unique porte d'où rentre et "sort" la lumiere" et puis la gouttière d'or" située à mi-chemin entre deux côtés du cube et d'où tombe l'eau pluviale sur la partie affaissée, "hattîm".
Modélisation du concept Genèse
L'Univers selon la Genèse dans la version hébraïque s'ouvre, se ferme et se replie sur lui-même. Pour visualiser ces états plusieurs figures géométriques sont suggérées par l'écrivain supposé, et à cette fin, celui-ci emploie les valeurs numériques des termes. Ex.
PREMIEREMENT-EN-PRINCIPE, il-créa, Ælohîm (il détermina en existence potenlielle, Lui -les-Dieux, l'Être-des-êtres),
l’ipséité-des-cieux et-l’ipséité-de-la-terre. Et-la-terre existait...
1. L'heptagone irrégulier- incomplet figurant un mouvement sans début ni fin et le double heptagone pour indiquer l'inversion de mouvement droite / gauche.
2. L'hexagone figurant la première mise en forme régulière et cyclique de l'espace dans lequel se produit une ouverture, un abîme dans le texte source de l'heptagone incomple
3. L'octogone source de la force contractante, "l'obscurité" ACh, et "lieu" où agit le son pour faire passer l'espace borné (une manifestation phénoménique), d'un volume à un autre.
4. Le pentagone, son double inversé et le dodécaèdre.
L'Univers selon la Genèse dans la version hébraïque s'étend revient sur lui-même et se replie . Le point de rupture entre ces états est déterminé ainsi: fermeture / ouverture + le mouvement, soit : (fermeture / ouverture) + (mouvement / fermeture et ouverture), le tout divisé par la moyenne arithmétique soit (80:60)+ 200/140): 2= 1.3709.
Le pentagone et son double inversé, représentations planes du dodécaèdre portent en elles le point de rupture entre les états d'ouveture et de fermeture.
5. Le dodécaèdre est considéré comme étant le premier bornage de l'espace contenant le cube principiel (en puissance d'être, Adam).
Modélisation de Genèse, v.1, ch.1 : "PREMIEREMENT-EN-PRINCIPE, il-créa"
met en avant un double rapport: 314 / 221 soit (314 / 221) + (442 / 314) / 2= 1.414 pouvant être traduit par 1.414 , +6 et -7 et géométriquement ainsi:
la genèse hébraïque conçoit la création d'Adam par l'obtention d'un quadilatère, un carré en l'occurence, qui lors d'un mouvement relatif et d'un renverment sur lui-meme lors de sept manifestations phénoméniques ou "jourrs" , se présente en position de face à face.
Quatre approches, au-delà du sens propre classique complètent la lecture des différents termes.
1. Le concept de déterminant, orientant la compréhension d'un mot.
Le déterminant serait, puisque jamais mis en avant à ce jour, une lettre: A, B, G,D,E,O,Z,H,T, qui à travers son sens idéographique dirige l'ensemble des racines constitutives d'un mot, vers la compréhension, la place qu'elle occupe dans le processus génésiaque, la création des choses en général. Exemple: les termes connaître (il connut) et Adam est uitlisé à diverses reprises. Adam, variable selon sa lettre terminale M final en place de M aura deux déterminants, connnaître sans lettre terminale variable, un seul.
Les lettres terminales
Lettres terminales: 23.C, 24.M, 25.N, 26.P, 27.Tz, 28. A
Lettres: A.1, 11.C, 13.M, 14.N, 17.P, 18.Tz..
La somme des valeurs numériques d'un terme, réduite entre 1 à 9 fixe le déterminant entre Aleph ou A, la puissance absolue, la stabilité et la continuité générationnelle et aussi le point central, l'unité, le principe abstrait d'une chose et Tet, T, représentant un lieu de résistance, de réjection; ce qui cause de la réfractérité lumineuse. Aleph à Tet forment les "bornes" de l'action génésiaque se réalisant dans la dixième lettre de l'alphabet, Yod, I ou J: la manifestation. Concernant Bet, Gimel, Dalet, Hé, Waw, Zayin et Het, voir vocabulaire radical.
Dans cette approche, le déterminant forme par ex. avec la première lettre du terme connut , la racine initiale (G): dont le vocabulraire radical donne la définition suivante:
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(G) IDWh |
connut (Adam connut Eve) |
chap.4, v.1 |
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(3) [(10+4+70) 84_12_3 |
"GE, GO, GI. Le signe organique, réuni, soit à celui de la vie, soit à celui de la force convertible universelle, soit à celui de la manifestation, constitue une racine qui devient le symbole de toute organisation. Cette R. qui possède les mêmes facultés d’extension et d’agrandissement que nous avons observées dans la R . GA, renferme les idées en apparence opposées d’enveloppement et de développement, selon le point de vue sous lequel on envisage l’organisation." |
Phrase 1, les déterminants et leurs valeurs
2. La lecture d'après les racines constitutives
Exemple:
", l'obscurité..... Ce mot est composé de deux racines contractées, Il est remarquable dans son sens figuré et hiéroglyphique. Dans son sens figuré, c’est un mouvement comprimant et durcissant; dans son sens hiéroglyphique, c’est un combat, une opposition violente, entre les principes contraires du chaud et du froid. La racineexprime un mouvement violent et désordonné,causé par une ardeur interne qui cherche à se distendre. La racinepeint, au contraire, un sentiment de contraction et de resserrement qui tend à se cenlra liser. Dans la composition du mot, c’est la force comprimante qui l’emporte, et qui enchaîne l'ardeur interne forcée de se. dévorer" Fabre-d'Olivet.
3. La lecture d'après les valeurs numériques attribuées à des champs d'action.
Six lettres placées dans les mots en position finale, indiquent un changement d'état. Mem, M peint ce qui est local et plastique et devient avec M final, le signe collectif, developpant l'être dans l'espace infini, autant que sa nature le permet, ou bien réunissant par abstraction, en un seul être tous ceux d'une même espèce.
A travers la somme des valeurs numériques des lettres constituant un terme, la nature d'un champ d'action entre deux états peut être criconscrit.
Valeurs numériques des lettres hébraîques
Exemple:
Chapitre IV, phrase 1. Les champs d'action.
4. Lecture d'après les notes de musique
Cette lecture est indépendante des teamim et semble identique au système au anglo-saxon ou les notes do, ré, mi, fa, sol, la, si, do sont représentées par les lettres C, D, E, F, G, A, B. l'espace sonore est borné par 55 espaces figurant l'existence dite absolue Hé Hé, EE ou Ælohîm, le mouvement d'extension sur lui-même, origine de la création des choses en général et de l'abondance en particulier. Les lettres Aleph, A, Bet, B, Gimel, G, Dalet, D, Zazin, Z, Het, H et Tet, T figurent les notes Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si.
Hé, E, et Waw, O ou W cinquième et sixième lettres de l'alphabet figurent deux "altérations" entre Fa et Sol.
Dans le concept génésiaque, la création des choses en général, Do, Aleph, A et Do, Yod, I ou J sous-tendent l'idée de puissance absolue et de manifestation. Entre ces deux "bornes" se placent La lettre Hé E, le souffle, la vie, l'espace et Waw, Wa w ou O, le point, le nœud joignant ou séparant ce qui est de ce qui n'est qu'en puissance d'être ("le néant"), de l'inaccompli à l'accompli.
L'action génésiaque se partage en trois étapes, la création proprement dite "il créa" ou la première entité et l'abondance dont Adam est le symbole et les re-créations successives à partir de cette entité de nature double et universelle.
Le texte original et deux traductions.
1. Et-lui-Adam (l’homme universel) connut;-cette-même Hêwa (l’existence élémentaire) l’épouse- intellectuelle-sienne (sa faculté volitive) et-elle-conçut, et-elle-enfanta l’existence-de Kaîn (le fort, le puissant; celui qui tire au centre, qui saisit, qui agglomère, qui assimile à soi) ; et-elle-dit, j’ai-centralisé, (formé par centralisation) un- être-intellectuel de-l’essence-même-à-IHÔAH.
Traduction littérale (Fabre-d'Olivet)
1. Adam connut Eve, sa femme; elle conçut, et enfanta Caïn et elle dit: J'ai formé un homme avec l'aide de l'Éternel.
Louis Segond.
2. Et-elle-ajouta par-l’action- d'enfanter l’ipséité - fraternelle - à- lui, l’existence-d’Habel ; et-il-fut Habel, conducteur (surveillant) de-l'être-indéfini, (le monde corporel) et-kaîn-fut serviteur, (ellaborateur) de-l’élément-adamique.
Elle enfanta encore son frère Abel. Abel fut berger, et Caïn fut laboureur.
3. Or-ce-fut de-la-cime des-mers qu’il-fit-aller, Kaîn, du-produit de- l’élément-adamique, (homogène) une-oblation à-iHÔAH..
Au bout de quelque temps, Caïn fit à l'Éternel une offrande des fruits de la terre;
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La multiplication divisionelle, l'abondance en quelque sorte s'effectue dans le lieu nommé abîme, un effondrement espace dans le premier espace borné. Ce qui était là présent à l'état principiel (un cube), surgit dans un mouvement incertain entre compression et extension pour se diviser entre eux facteurs, le cycle et le temps. |
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On peut observer ici deux progreesions, l'une carrée, l'autre cubique
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Le mouvement incertain
L'écriture hébraïque et son vocabulaire radical, met en avant, à travers les lettres- caractères finaux les idées de compression (C final), d'extension (N final) sous-entendant un mouvement entre eux, aboutissant éventuellement à un équilibre sous forme d'un amassement à travers M final. Trois lettres "fixes" forment la base, la mesure des ces actions et états: A final, la réalisation, Tz final, le mouvement qui porte vers l'aboutissement ou terme et P final, la réalisation par la vibration sonore.
Du mouvement d'opposition entre contraction et extension, se produit un battement dans l'amassement déterminant un bouillonnement, une distension, une expansion, une profusion, une abondance.
Le battement (la volition)
Les actions
le son comme moyen d'ouverture et de mise en mouvement (Ælohîm)
1. Et-lui-Adam (l’homme universel) connut;-cette-même Hêwa (l’existence élémentaire) l’épouse- intellectuelle-sienne (sa faculté volitive) et-elle-conçut, et-elle-enfanta l’existence-de Kaîn (le fort, le puissant; celui qui tire au centre, qui saisit, qui agglomère, qui assimile à soi) |
1,a. Et-lui-Adam, (B et D) OEADM final, (l'abîme / est la raison suffisante, la cause de l'abondance, de la divisibité élémentaire).
1,b. Et-lui-Adam,OEADM final: la manifestation, la manifestation subite de lumière, l'action de rendre patent, de découvrir ce qui était caché / la puissance de la division, l'unité relative / pour former une matrice, une règle, une mesure (la causalité passive et conditionnelle).
1,c. Et-lui-Adam. 56, EO: ce qui est en puissance d'exister / 616, OAO: et qui se manifeste par un son brusque / le signe d'une appétance. 672, OZE: une excitation / , manifestant.
2,a. connut, (G) IDWh, (pour organiser).
2,b. connut, IDWh: la faculté, la force éxécutive, la puissance d'agir / ce qui met en mouvement.
2,c . connut. 84, HD: borna.
3,a. cette_Hêwa, (E) ATh, (le mouvement démonstratif) _ (O) H.OE, (une émission subite de lumière, une manifestation, ce qui rend patent, découvre ce qui était cachè).
3,b. cette_Hêwa, ATh - H.OE: le signe de _ la manifestation élémentaire / l'action de découvrir ce qui était caché, de rendre patent.
3,c. cette_Hêwa401, MA: l'eau (ce qui est local et plastique) Hêwa. 19 , AT: le son.
4,a. L'épouse intellectuelle-sienne, (E) AShTh°O, (le mouvement démonstratif).
4,b. L'épouse intellectuelle-sienne, AShTh°O: la base, le fondement, "le feu" considéré dans l'absence de toute substance / qui arrête, oppose de la résistance
4,c. L'épouse intellectuelle-sienne. 707, WHz: en se doublant, en s'ajoutant à elle-même.
A à T
T à A
Sh, le mouvement relatif.
Note. Avec le signe du mouvement relatif Sh ci-dessus, puis l'idée de la sympathie et de la réprocité Th dans et-elle-enfanta et enfin le signe du pouvement propre, rectiligne R danset-elle-conçut, l'auteur reprend ici l'ossature du terme Bereashit, en Principe, BRAShITh. où RASh, le principe principant fondait en se dédoublant.
5, a. et-elle-enfanta, (G) OThLD, ( envelopper, développer: pour organiser).
5, b. et-elle-enfanta, OThLD: la difficulté de se mouvoir / mais qui génère, engendre, accroît.
5, c. Et-elle-enfanta. 417, DAZ: dans l'action de voler avec rapidité / elle fonda, un point fixe.
6, a. et-elle-conçut, (H) OThER, (l'existence élémentaire).
6, b. et-elle-conçut, OThER: la difficulté de se mouvoir / (provoque), un gonflement qui s'écroule/ qui modifie.
6, c. et-elle-conçut. 440, DM: en devenant homogène.
6, a . et-elle-enfanta, (G) OThLD, (pour organiser).
6, b. et-elle-enfanta, OThLD: la difficulté de se mouvoir / mais qui génère, engendre, accroît.
6, c. Et-elle-enfanta. 417, DAZ: dans l'action de voler avec rapidité / elle fonda, un point fixe.
7, a. l'existence-de-Kaïn, (E) ATh(le mouvement démonstratif) _ (Z et T) KIN final, (une diffusion dans le temps ou l'espace / )
7, b. l'existence-de-Kaïn, ATh _ KIN final: le signe de _ :
KN final: Cette racine a deux sources dont les expressions se fondent, pour ainsi dire, en une. Par la première, elle dérive de la racine K.O , image de la force aveugle qui meut la matière, réunie au signe augmentatif N final ; par la seconde, elle découle du signe compressif K , contracté avec la R. AN final , symbole de toute circonscription corporelle : de là,
Premièrement :
KN final. Tout ce qui tend avec ardeur vers une chose ; tout ce qui est envieux, envahissant, véhément, avide de gain et de possession
Secondement :
KN final. Tout ce qui se centralise, se concentre en lui-même , se dévore.
De ces deux racines se forme KIN final: où se rassemblent les idées opposées de tension appétante. et de compression, de véhémence et de resserrement, de puissance et de densité. Là réside la force centrale, la base profonde, la règle, la mesure des choses ; Là se trouve la faculté qui saisit, envahit, agglomère, s approprie et assimile à soi.
7, c. L'existence-de. 401, MA:
l'eau (ce qui est local et plastique) _ Kaîn. 160, AS: la base / 810,HI: la vie élémentaire, 970, TWh: errer.
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DB / ZT le son de l'abîme (l'ouverture) se propageant, se transmettant /dans le temps et l'espace (ce qui est diificile à mettre en mouvement et à se déterminer)
Le son, l'ignition et l'existence élémentaire |
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Un son est émis lorsqu'un objet est le siège de vibrations. Le tohu bohu de la Genèse hébraïque présente à travers les nombres le caractérisant deux états états joints d'équilibre et de déséquilibire valant 1 et 1.0526, soit approximativement la valeur d'un demi-ton.
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